L’AUDITION FACTEUR CLÉ POUR LUTTER CONTRE LE DÉCLIN COGNITIF !

La perte de l’audition et la mémoire sont intimement liées. En effet, si vous souffrez d’une perte de l’audition, aussi petite soit-elle, l’effort que doit fournir votre cerveau est beaucoup plus important, car le cerveau essaye de compenser la déficience auditive par une analyse plus fine des stimuli sonores reçus.

Par conséquent, vous épuiserez plus vite vos réserves cognitives laissant peu de place aux autres traitements cognitifs dont la mémoire. Le centre auditif du cerveau enregistre les sons et les bruits durant les 3 premières années qui suivent le début de la perte d’acuité auditive.

Mais après 7 années, la mémoire devient de plus en plus faible, le cerveau n’étant plus capable de les décoder. En privant le système nerveux central de repère sensoriels fondamentaux, la presbyacousie (manifestation par la diminution progressive et constante de l’audition) participerait à un manque de stimulation intellectuelle responsable de la dégradation rapide des capacités cognitives et pourrait mener à l’expression clinique précoce du déclin cognitif.

D’après les neuropsychologues et scientifiques, parmi les principaux facteurs capables de lutter contre le risque potentiel du déclin cognitif, l’audition jouerait un rôle prépondérant. Préserver l’audition dès le milieu de sa vie permettrait de réduire jusqu’à 9% le nombre de nouveau cas chaque année ! Mais comment pouvez-vous agir ? Les personnes souffrant d’une perte auditive peuvent bénéficier d’une correction auditive qui permettra d’inverser ce processus lié à la privation de stimuli sonore.

En 1 à 3 mois les patients ressentent une réelle amélioration de leur environnement sonore. La réhabilitation sera d’autant plus rapide si le patient est jeune. Grâce à l’appareillage auditif, vous pouvez compenser la perte des capacités auditives !